Un Rêve d’humanité exprimé en photographies

Oeuvrer pour le monde de demain, s’assurer qu’il soit plus que jamais apaisé et porteur de progrès social. S’appuyer pour cela sur la notion de fraternité, tel est le but d’un projet au long cours dont Rêve d’humanité constitue le lancement : Une fresque de photographies de 370 mètres déployée sur les quais parisiens depuis le 24 juillet.

Initiée par Reza, cette fresque de photographies rend hommage au HCR, l’agence des Nations Unies pour les réfugiés, dans une volonté de réflexion sur le respect des valeurs humaines dans le monde de demain.

Fraternité, solidarité, dignité, respect, amitié, paix, hospitalité… sept mots, sept messages.
Quelle est la place qui leur sera réservée dans un avenir proche ?
Rêve d’humanité propose une réflexion autour de la diversité et de l’altérité.

Une exposition de photographies constituée par une gigantesque fresque de 370 mètres de long, s’étale sur les Berges de Seine, en face du Palais d’Orsay à Paris. Portraits de Reza, photographe mondialement connu, photographe de guerre, photographe engagé dont beaucoup d’images ont fait le tour du monde.
Photographies également, de jeunes reporters de camps de réfugiés syriens au Kurdistan irakien, agés de 11 à 17 ans, que Reza a lui-même formés, sur place, pendant 18 mois. Ces photographies, leurs photographies, ont été réalisées au sein de leur univers de fortune, après avoir tout laissé derrière eux. Elles sont empreintes d’une charge émotionnelle forte, et de beaucoup de poésie. Ils se sont lancés, avec une motivation hors du commun, dans l’atelier de photographie mis en place par Reza, qui s’émeut encore du pouvoir évocateur des photographies de ses petits reporters, de leur talent spontané.

L’exposition présente également des portraits de réfugiés pris par le photographe professionnel et le secrétaire général de HIPA, Ali Bin Thalith, dans le cadre du projet « Faces ».

Rêve d’Humanité par Reza
Avec Ali Bin Thalith & Les enfants réfugiés syriens
24 juillet – 12 octobre 2015
En face du Musée d’Orsay, entre la passerelle Sédar-Senghor et le Pont Royal